Journées de transfert de connaissances de l'École en réseau


[[{"fid":"959","view_mode":"vignette_gauche","fields":{"format":"vignette_gauche","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":""},"type":"media","link_text":null,"attributes":{"height":70,"width":220,"class":"media-element file-vignette-gauche"}}]]                                                               

[[{"fid":"961","view_mode":"vignette_gauche","fields":{"format":"vignette_gauche","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":""},"type":"media","link_text":null,"attributes":{"height":115,"width":220,"class":"media-element file-vignette-gauche"}}]]La Commission scolaire des Rives-du-Saguenay était l'hôte les 2 et 3 octobre derniers de la session de transfert de connaissances de l'École en réseau.  À noter que la mise en oeuvre de cette innovation en milieu scolaire régional, informée par des chercheurs rattachés au CRIRES, continue de se pérenniser et d'évoluer. L'une des manifestations en est que différentes commissions scolaires se chargent d'organiser annuellement une telle session. Une autre manifestation est que l'équipe d'accompagnement, formée d'une majorité d'étudiants et de jeunes professionnels, s'est renouvelée. Le chercheur Stéphane Allaire, présent sur place, assurait la continuité de cet événement annuel. Rappelons que Coburn’s (2003) avait repéré quatre dimensions à prendre en considération pour qu’une innovation en éducation se répande, soit son niveau de profondeur, sa pérennité, son étendue et son appropriation par des tiers. Clarke and Dede (2009) ont ajouté une cinquième dimension, soit l’évolution de la nature même de cette innovation par la voie, entre autres, du développement professionnel.