Centre Solidarité-Jeunesse


[[{"fid":"929","view_mode":"vignette_gauche","fields":{"format":"vignette_gauche","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":""},"type":"media","link_text":null,"attributes":{"height":96,"width":220,"class":"media-element file-vignette-gauche"}}]]Le Centre solidarité jeunesse est un organisme SBL qui lutte activement contre le décrochage scolaire. La coordonnatrice du volet pédagogique nous informe d'un  projet nommé Passerelle qui existe depuis 3 ans et qui offre à de jeunes décrocheurs ou à des jeunes vulnérables au décrochage de 15 à 25 ans l’opportunité de prendre un recul de l’école dite régulière pour s’entrainer afin de mieux réintégrer celle-ci. Sur une période de plus ou moins 12 semaines, ce centre travaille sur plusieurs sphères pour redonner aux jeunes le goût d’apprendre et de poursuivre leurs objectifs scolaires. Elle écrit: "Les résultats que nous observons et les commentaires que nous récoltons des jeunes, des parents et du milieu scolaire nous affirment que nous avons développé une approche très pertinente et adaptée. Cette dernière a été développée par une équipe multidisciplinaire, une enseignante en adaptation scolaire (moi-même), un travailleur social et un éducateur spécialisé, en combinant plusieurs années d’expérience sur le terrain à côtoyer ces jeunes vulnérables dans leur milieu. Je suis convaincue de la pertinence et de la richesse de notre projet. Je suis également convaincue qu’il pourrait être encore plus solide avec le support du milieu de la recherche. C’est ce qui m’amène à vous écrire. La créativité et la flexibilité de notre milieu offrent un terreau fertile au développement de nouvelles idées et facilitent l’intégration d’approches et de stratégies innovantes."

Madame Julie Goulet-Kennedy souhaite avoir un accès plus direct à nos pratiques innovantes et éprouvées en lien avec leurs projets. Elle souhaiterait pouvoir faire connaître son organisme à des étudiants en quête d’un milieu dynamique pour tester des hypothèses de recherche. Bref, elle rêve d’établir un pont plus accessible et fluide entre nos deux milieux.